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<div class="rtejustify"> <div class="rtecenter"><strong>Exposition « Les quatre pieds sur terre. Chaise paysanne estonienne »</strong></div> <div class="rtecenter"> <p class="rteleft"><strong>Cette exposition sera ouverte dans la galerie du Musée national estonien du 24 février au 4 décembre 2023.<br /> L’exposition « Les quatre pieds sur terre. Chaise paysanne estonienne » propose aux visiteurs une promenade dans le monde riche et varié des chaises paysannes estoniennes. Plus de cent chaises uniques ont été soigneusement choisies pour nous raconter la belle histoire de l’époque où elles furent fabriquées, ainsi que les valeurs jugées importantes par leurs fabricants. </strong><br /> <br /> Dans une maison paysanne, la chaise représente plus qu’un simple objet utilitaire : vu sa variété de constructions et d’ornements, elle mérite beaucoup plus d’attention que les autres objets ménagers relativement modestes. Les influences stylistiques du reste du monde atteignirent les meubles de ferme avec un certain retard. Des idées novatrices furent adaptées et simplifiées, combinées à des techniques familières, puis perfectionnées. Ainsi, la chaise paysanne reflète autant la créativité, l’ingéniosité et la compétence que l’ameublement domestique et l’histoire de la mode et du meuble.<br /> <br /> Il s’agit d’un objet du quotidien avec une valeur esthétique. Il y a de simples sièges que les paysans fabriquaient eux-mêmes pour s’installer devant le foyer, mais il existe aussi des chaises plus complexes faites par des maîtres menuisiers du village. Certaines étaient fabriquées à l’occasion de grandes fêtes familiales : comme cadeau de noces pour la mariée ou comme dot pour la fille.<br /> <br /> Avec plus de 370 artefacts, le Musée national estonien possède la plus grande collection de chaises paysannes d’Estonie. Les chaises les plus anciennes de l’exposition datent du début du XIX<sup>e</sup> siècle, les plus récentes des années 1930.<br /> L’exposition nous révèle comment les tendances de la mode mobilière de l’époque, que ce soit rococo anglais, Biedermeier ou premiers courants du classicisme, apparaissaient dans des chaises paysannes. Quels fabricants locaux ont pu s’inspirer des chaises Windsor ou de la fameuse chaise « Sussex » de William Morris ? Quelles formes les chaises à dossier en échelle ou les escabelles, largement répandues en Europe, ont-elles prises en Estonie ? Quel siège pouvait naître à partir de la racine d’un pin ou d’une épaisse branche ramifiée ?<br /> <br /> À l’époque où les meubles se faisaient à la main, des fascinantes « écoles » locales se formèrent. Différentes du reste de l’Estonie, les chaises provenant des îles se distinguent par des caractéristiques régionales uniques : celles-ci sont les créations des fabricants des îles Muhu et Kihnu, ainsi que celle des Suédois de la côte à Pakri et Ruhnu.<br /> <br /> Comment un simple paysan du XIX<sup>e</sup> siècle ne possédant qu’une hache, un couteau, une plane et un burin, fabriquait-il ses chaises ? Des clips vidéo sont diffusés afin de donner un aperçu des solutions techniques de l’époque utilisées pour travailler le bois en le fendant, pliant et façonnant, et pour tresser une assise en pailles ou en joncs.<br /> <br /> Commissaires d’exposition : Mariliis Vaks, Liisi Jääts, Indrek Tirru<br /> Conceptrice : Emma Eensalu<br /> Productrice : Reet Mark<br /> Cette exposition sera ouverte dans la galerie du Musée national estonien du 24 février au 4 décembre 2023<br /> Entrée : Entrée A<br /> </p> <div style="text-align:center"><img alt="" height="401" src="/sites/default/files/bj_0826.jpg" width="600" /></div> <div class="rteleft"> </div> </div> <h3 class="rtecenter"><br /> <strong>Exposition « Univers de la cour de ferme. Créateurs d’Estonie du sud </strong><strong>»</strong></h3> <div class="rtecenter"> <div class="rteleft">L’exposition intitulée « Univers de la cour de ferme. Créateurs d’Estonie du sud » est ouverte dans la galerie de l’ERM. Cette exposition appréciée arrive à Tartu du musée KUMU. Elle reste ouverte jusqu’au 21 août 2022. Accès à la galerie par l’entrée A de l’ERM. </div> <p class="rteleft">Au cours des dernières décennies, un certain « réveil » de l’Estonie du sud a eu lieu : la forte émergence de l’identité locale se base sur des phénomènes culturels profondément enracinés, tels que le dialecte, les coutumes et le mode vie proche de la nature. Les recherches sur la culture de l’Estonie du sud, qui ont pris remarquablement de l’ampleur, se concentrent sur trois grands domaines : langue, traditions et littérature. Jusqu’à présent, en dehors des études littéraires et ethno-traditionnelles, aucune approche n’a encore analysé la spécificité sud-estonienne de l’œuvre des artistes ayant grandi dans la région et y étant étroitement liés. Pourtant, un grand nombre d’artistes originaires d’Estonie du sud sont des auteurs-clés modernistes du début de la vie artistique estonienne, dont le travail a eu un impact important sur notre vision et notre perception de ce qui est « le caractère sud-estonien ». L’exposition couvre la période allant de la fin du 19<sup>e</sup> siècle jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale, puisque c’est pendant cette période-là qu’en plus de la définition générale de la conscience nationale et politique, une identité régionale plus étroite, y compris celle de l’Estonie du sud, s’est créée.<br /> <br /> Les œuvres de près de 50 artistes sont exposées, dont Karl Pärsimägi, Konstantin Süvalo, Jaan Vahtra, Eduard Rüga, Villem Ormisson, Jaan Koort, Peet Aren, Konrad Mägi, Ants Murakin, Roman Nyman, Andrus Johani et Eduard Wiiralt. L’exposition met particulièrement en lumière Eduard Timbermann dont l’œuvre exceptionnelle est jusqu’à présent restée indûment inaperçue.</p> <div style="text-align:center"><img alt="" height="467" src="https://www.erm.ee/sites/default/files/bj_0048.jpg" width="700" /></div> </div> <h3 class="rtecenter"><strong>Exposition « La beauté des couleurs. La collection d'art d'Enn Kunila sur l'âge d'or estonien »</strong></h3> <div class="rteleft">L'exposition, intitulée « La beauté des couleurs. La collection d'art d'Enn Kunila sur l'âge d'or estonien », présente les œuvres des plus grands peintres estoniens de la première moitié du XXème siècle. La collection d'Enn Kunila est consacrée à des œuvres chromatiques représentant des paysages naturels, des portraits ainsi que des natures mortes. Ces œuvres offrent une vision positive et harmonieuse du monde. Parmi les artistes représentés figurent Konrad Mägi qui se distingue avec plusieurs dizaines d'œuvres, ainsi que Nikolai Triik, Johannes Võerahansu, Ants Laikmaa, Eerik Haamer, Endel Kõks, Paul Burman, Villem Ormisson, Richard Uutmaa et bien d'autres.<br /> <br /> La collection d'art d'Enn Kunila a commencé à se former au milieu des années 1990. Des principes clairs se sont dégagés au fils des années. La collection met en lumière l'âge d'or de la peinture estonienne, à savoir l'émergence du modernisme dans les premières décennies du XXème siècle. Les artistes qu'elle regroupe représentent les principales tendances picturales de cette époque, alors que les œuvres qui s'y trouvent offrent quant à elles une vue d'ensemble du travail de ces artistes, dont elles sont une parfaite illustration. La collection donne ainsi un bon aperçu des prémices de l'histoire de l'art pictural estonien.<br /> <br /> L'exposition présente plus de 70 peintures, dont plus d'un quart sont des œuvres de Konrad Mägi. Conçue par Tõnis Saadoja, l'exposition propose de découvrir tout une série de tableaux des plus grands peintres du début du XXème siècle. Les nouvelles œuvres qui n'ont encore jamais été montrées au public y sont bien plus nombreuses que lors de l'exposition organisée au musée d'art de Tartu en 2018. L'accent y est mis avant tout sur les paysages naturels qui laissent deviner la relation étroite et vivante que les artistes de cette époque entretenaient avec la nature. À cela s'ajoute plusieurs portraits, natures mortes et paysages urbains.<br /> <br /> Le titre de l'exposition « La beauté des couleurs » fait référence à la manière dont les couleurs sont abordées par les artistes estoniens. La couleur était le principal élément que la plupart des peintres de l'époque utilisaient pour apporter une touche émotionnelle, décorative, psychologique et dramatique à leur œuvre. Les couleurs permettaient aux artistes d'exprimer leurs sentiments intérieurs, d'élargir la composition et de rechercher des transitions harmonieuses. Dans de nombreuses œuvres, la couleur s'affranchit de la contrainte de la représentation et les surfaces colorées produisent leurs effets de manière autonome. La polyvalence de la technique du pinceau est également mise en avant.<br /> <br /> L'exposition est accompagnée d'un programme éducatif, de panneaux d'information disposés dans chaque salle et d'un catalogue complet. Il sera également possible de voir le nouveau film de Marianne Kõrver sur les premières années de la peinture estonienne dans la salle de cinéma. Des visites commentées par le commissaire d'exposition, des visites guidées et des rencontres avec le collectionneur sont prévues.<br /> Le commissariat de l'exposition est assuré par Eero Epner, la scénographie par Tõnis Saadoja et la coordination par Maris Kunila. La graphiste et conceptrice du catalogue est Angelika Schneider, la responsable du programme éducatif est Mary-Ann Talvistu.<br /> <br /> Du 19 février au 8 octobre 2022.</div> <div style="text-align:center"><img alt="" height="460" src="/sites/default/files/aa_0120_0.jpg" width="700" /></div> <h3 class="rtecenter"><br /> <strong>La beauté fonctionnelle. Sacs à main, porte-monnaie, sacs cabas et sacs-pochettes issus des collections de l'ERM</strong></h3> <p>Les collections en libre-accès de l'ERM présentent au public les objets qu'elles renferment et conservent avec précaution en les tenant habituellement à l'écart des visiteurs. Elles offrent la possibilité d'exposer des centaines, voire des milliers, d'objets de même nature ou ayant un lien thématique entre eux.<br /> <br /> Les collections en libre accès exposeront à partir du 24 février 2022 près de 1 500 accessoires historiques et sacs fonctionnels, allant des porte-monnaie et sacs à main jusqu'aux étuis de montre à gousset et autres pochettes de tradition finno-ougrienne. Parmi les objets les plus anciens de l'exposition se trouvent des sacs-pochettes et des blagues à tabac richement décorés qui se portaient avec les costumes traditionnels. Par ailleurs, l'exposition propose également de découvrir les sacs en plastique caractéristiques de l'ère soviétique et de mettre en lumière l'évolution de la mode des sacs à main dans la seconde moitié du siècle dernier.<br /> <br /> Les sacs exposés dans l'espace des collections en libre-accès du musée révèlent le remarquable sens du beau de nos ancêtres et apportent également une contribution précieuse et inspirante à tous ceux qui aiment la culture populaire, la mode et le design.<br /> <br /> Exposition visible du 24 février 2022 au 24 février 2024 au sein des collections en libre-accès de l'ERM.</p> <div style="text-align:center"><img alt="" height="368" src="/sites/default/files/1200x630px_vol2.jpg" width="700" /></div> <h3 class="rtecenter"><br /> <strong>L’exposition sur les contes, intitulée « IL ÉTAIT UNE FOIS ... », se tient dans la salle des expositions temporaires de l’ERM à partir du 8 février 2020.</strong></h3> L’exposition « Il était une fois ... » est consacrée aux contes de fée. Dans la forêt enchantée des contes se trouve un univers familier extraordinaire. Il faut s’adapter à ce lieu où règnent une temporalité et des lois différentes. <br /> <br /> Le conte de fée est en dehors du temps et de l’histoire, évoluant à son rythme. On y voit le héros se mettre en route - il peut aborder des animaux et des oiseaux doués de parole ou rencontrer des personnages inattendus qui lui viennent en aide. Il peut lui arriver de manipuler des objets magiques ou traverser à toute hâte d’étranges contrées. À d’autres moments, il se met en chemin plutôt dans le but de trouver son bonheur, s’y employant avec tellement d’énergie qu’il va jusqu’à user sept paires de chaussures.<br /> <br /> Les visiteurs de l’exposition suivent le parcours des héros des contes. Les objets magiques, les actes de charité, les personnages prêtant main-forte, les lois de la narration, les proverbes, le langage des animaux et des oiseaux, les héros, les chaudrons remplis d’argent, les mondes souterrains, les défis, les solutions. Les fins heureuses ou malheureuses. Et tout ce qui se présente entre les lignes du conte ... <div style="text-align:center"><img alt="" height="190" src="/sites/default/files/muinasjutunaitus_tekstita_0.png" width="700" /></div> <br /> Qu’y a-t-il de passionnant dans l’exposition? Pour les adultes, il y a le plaisir d’identifier les contes, le fait de connaître les modifications apportées aux contes en ce qui concerne les éléments de temps et de lieu et l’apport d’idées pour raconter des histoires du soir. L’exposition propose aux jeunes visiteurs de rencontrer les personnages présents dans les contes, ainsi que de découvrir des mondes fantastiques et, bien évidemment, un grand nombre de nouveaux contes fascinants. L’exposition s’accompagne de visites guidées.<br /> <br /> Initiatrice et commissaire de l’exposition : Katrin Sipelgas<br /> Concepteurs : Katrin Sipelgas, Janeli Jallai, Jaak Kilmi, Risto Järv<br /> <div style="text-align:center"><img alt="" height="467" src="/sites/default/files/ak_0149.jpg" width="700" /></div> </div> <div class="rtecenter"><span style="font-size:18px;"><strong>Expositions passées</strong></span></div> <div class="rtejustify"><strong>DIY (Do it Yourself) Estonia. Reconstruire l’Estonie grâce à l’esprit d’initiative et l’ingéniosité </strong></div> <div class="rtejustify"><em>4 octobre 2018 - 20 octobre 2019</em></div> <div class="rtejustify"><br /> On se souvient aujourd’hui des années 1990 comme d’une période de grands changements. La décennie fut riche d’évènements politiques en Europe de l’Ouest. La démocratie fit un retour relativement serein en Estonie, mais non loin de là, des conflits sanglants faisaient rage.<br /> <br /> L’exposition explore les années 1990 en Estonie du point de vue de la vie quotidienne. La vie semblait nouvelle et excitante mais elle n’était cependant pas facile. Il fallut s’adapter aux changements, faire face aux rebondissements de la vie, évoluer dans ses convictions personnelles. Ce fut l’essor de la société civile, des possibilités sans précédent pour les consommateurs, les frontières de nouveau ouvertes, la liberté de pouvoir parler du passé et de se rappeler collectivement ce qui avait vraiment eu lieu… tout cela a contribué à façonner l’Estonie d’aujourd’hui.<br /> <br /> D’un point de vue sociologique, les changements des années 1990 se sont déroulés sur trois plans: économique, politique et culturel. Chacun de ces plans se déroulant à une vitesse différente, l’enchaînement fut inhabituel. Premièrement les structures de l’état furent rebâties, balayant les réformes économiques qui avaient été menées jusque là. Ensuite seulement les gens essayèrent de vivre leur vie selon le nouveau système. Bien que les années de réformes les plus compliquées furent brèves, nous sommes culturellement toujours en train de nous habituer à la nouvelle ère.<br /> <br /> “DIY Estonia” est aussi une exposition sur l’expérience des différentes générations. Des générations sur le même temps chronologique peuvent en fait vivre des moments subjectivement différents. Les gens ont expérimenté les années 1990 à différents moments de leur vie et certaines expériences sont partagées seulement avec ceux de la même génération. L’Estonie a assisté à un rapide glissement d’un gouvernement d’anciens à une société orientée vers la jeunesse. Pour les jeunes, il a été facile de se glisser dans cet environnement tout neuf car les opportunités, pour ceux qui voulaient rentrer dans le monde du travail, étaient quasiment illimitées. Beaucoup ont rapidement progressé dans les rangs de la fonction publique et une nouvelle élite d’hommes et de femmes d’affaire s’est formée. Mais certains jeunes n’en ont pas profité, tandis que, d’un autre coté, un tout-jeune retraité a rappelé, dans un récit envoyé aux archives du Musée national estonien, que les débuts des années 1990 ont été le commencement des plus belles années de leurs vies.<br /> <br /> “DIY Estonia” a été réalisée dans le cadre d’un projet de recherche commun et d’une coopération entre plusieurs musées, au cours desquels de la documentation sur les années 1990 a été rassemblée. Les collections des musées sont encore loin d’être exhaustives au regard de cette période, le travail se poursuivra donc. Le projet est dédié au centenaire de la République d’Estonie.</div> <div class="rtejustify"> </div> <div class="rtejustify" style="margin: 0px; padding: 0px; outline: invert; border: 0px; border-image: none; text-align: justify; color: rgb(0, 0, 0); text-transform: none; line-height: inherit; text-indent: 0px; letter-spacing: normal; font-family: inherit; font-size: 100%; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; text-decoration: none; word-spacing: 0px; vertical-align: baseline; white-space: normal; box-sizing: border-box; orphans: 2; font-size-adjust: none; font-stretch: inherit; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><strong>Histoire de chaises</strong></div> <div class="rtejustify" style="border-bottom-color: currentColor; border-bottom-style: none; border-bottom-width: 0px; border-image-outset: 0; border-image-repeat: stretch; border-image-slice: 100%; border-image-source: none; border-image-width: 1; border-left-color: currentColor; border-left-style: none; border-left-width: 0px; border-right-color: currentColor; border-right-style: none; border-right-width: 0px; border-top-color: currentColor; border-top-style: none; border-top-width: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: inherit; font-size: 100%; font-size-adjust: none; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: 300; letter-spacing: normal; line-height: inherit; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; outline-color: invert; outline-style: none; outline-width: medium; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; vertical-align: baseline; -webkit-text-stroke-width: 0px; white-space: normal; word-spacing: 0px;"><em><span style="display: inline !important; float: none; background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(0, 0, 0); font-family: inherit; font-size: 100%; font-size-adjust: none; font-stretch: inherit; font-style: italic; font-variant: inherit; font-weight: inherit; letter-spacing: normal; line-height: inherit; orphans: 2; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; -webkit-text-stroke-width: 0px; white-space: normal; word-spacing: 0px;">Ouverture dans la galerie (entrée B) du 31 janvier 2018 au 30 juin 2019.</span></em><br /> <br /> L'accent est mis sur l'un des éléments intérieurs les plus courants et les plus importants, dont aucun espace ne saurait se passer.<br /> <br /> Au cours du siècle, des architectes et des designers estoniens ont conçu et fabriqué des chaises qui sont restées quasiment invisibles pour le public, mais sans lesquelles nous ne pourrions pas imaginer l’histoire de notre design.<br /> <br /> L’exposition présente l’histoire du mobilier estonien à travers les chaises, devenues iconiques, que l’on retrouve dans les bâtiments publics, ainsi que dans les foyers de beaucoup d’Estoniens. Ce sont les chaises qui ont marqué l’histoire du design du mobilier estonien en tant qu’objets uniques, mais aussi celle de la production industrielle. On y expose également des chaises dont l’unicité est un signe du temps car les limites des possibilités déterminaient leur tirage. Cette exposition est aussi un récit de l’interruption du modernisme puisqu’elle présente l’époque où la pensée indépendante était contrainte et le design du mobilier extrêmement réglementé.<br /> <br /> Commissaires d’exposition : Harry Liivrand, Lilian Sokolova, Katrin Tammsaar<br /> Productrice : Reet Mark</div> <p> </p> <div class="rtejustify"><strong>Dédicace. Illustrations d’Evi Tihemets</strong></div> <div class="rtejustify"><em>Ouverture dans la galerie (entrée B) du 22 novembre au 6 janvier 2019</em><br /> Evi Tehemets (née en 1932) a été décrite comme une artiste graphique avec l’âme d’un peintre. Au début des années 1960 elle rapporta les couleurs dans l’art graphique estonien, et depuis 60 ans elle poursuit son utilisation de couleurs. Elle a toujours suivi le rythme des différentes époques, et peut être même été en avance sur elles, dans ses découvertes artistiques. Dans le passé elle a utilisé à la fois la lithographie et les techniques de taille-douce, les associant savamment avec photos et impressions digitales tout en utilisant différentes sortes de papiers. Dernièrement, elle s’est livrée avec amusement au collage.<br /> <br /> L’exposition de son travail est dédié à son mari, Ants Viires (23.12.1918-18.03.2015), qui aurait alors 100 ans et qui est un des ethnologues estoniens les plus renommés. Il apporta à son travail des influences venues directement de la mythologie estonienne et d’autres peuples finno-ougriens. Les pièces présentées ont été choisies car elles gardent à l’esprit ces échanges. En plus de ces anciennes pièces graphiques, 14 grands collages sont exposés et comme précédemment c’est un dialogue entre deux personnes dévouées l’une à l’autre, à leurs talents et leurs recherches. Evi Tihemets a mis ensemble les détails les plus passionnants de ses œuvres graphiques antérieures, des impressions du livre de Teppo Korhonen, „Kuisti. Kansatieteellinen tutkimus,” ses souvenirs et impressions de la nature ainsi qu’ une sélection de poème écrit par Ants Viires.<br /> <br /> C’est une rétrospective de leurs souvenirs de ces merveilleuses années passées ensemble.<br /> Créateur de l’exposition: Evi Tihemets<br /> Graphiste: Emma Eensalu<br /> Équipe de l’exposition: Reet Mark, Karin Kastehein, Penelope Piip, Silli Peedosk, Eve Keedus, Arvi Tragel, Tiit Sild, Lauri Tamm, Erkki Pärt, Pihel Prants<br /> <br /> L’artiste est très reconnaissante envers l’entreprise Overall.<br /> L’exposition a reçu le soutien de la Donation culturelle estonienne.</div>
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<div class="rtejustify"> <div class="rtecenter"><strong>Exposition « Les quatre pieds sur terre. Chaise paysanne estonienne »</strong></div> <div class="rtecenter"> <p class="rteleft"><strong>Cette exposition sera ouverte dans la galerie du Musée national estonien du 24 février au 4 décembre 2023.<br /> L’exposition « Les quatre pieds sur terre. Chaise paysanne estonienne » propose aux visiteurs une promenade dans le monde riche et varié des chaises paysannes estoniennes. Plus de cent chaises uniques ont été soigneusement choisies pour nous raconter la belle histoire de l’époque où elles furent fabriquées, ainsi que les valeurs jugées importantes par leurs fabricants. </strong><br /> <br /> Dans une maison paysanne, la chaise représente plus qu’un simple objet utilitaire : vu sa variété de constructions et d’ornements, elle mérite beaucoup plus d’attention que les autres objets ménagers relativement modestes. Les influences stylistiques du reste du monde atteignirent les meubles de ferme avec un certain retard. Des idées novatrices furent adaptées et simplifiées, combinées à des techniques familières, puis perfectionnées. Ainsi, la chaise paysanne reflète autant la créativité, l’ingéniosité et la compétence que l’ameublement domestique et l’histoire de la mode et du meuble.<br /> <br /> Il s’agit d’un objet du quotidien avec une valeur esthétique. Il y a de simples sièges que les paysans fabriquaient eux-mêmes pour s’installer devant le foyer, mais il existe aussi des chaises plus complexes faites par des maîtres menuisiers du village. Certaines étaient fabriquées à l’occasion de grandes fêtes familiales : comme cadeau de noces pour la mariée ou comme dot pour la fille.<br /> <br /> Avec plus de 370 artefacts, le Musée national estonien possède la plus grande collection de chaises paysannes d’Estonie. Les chaises les plus anciennes de l’exposition datent du début du XIX<sup>e</sup> siècle, les plus récentes des années 1930.<br /> L’exposition nous révèle comment les tendances de la mode mobilière de l’époque, que ce soit rococo anglais, Biedermeier ou premiers courants du classicisme, apparaissaient dans des chaises paysannes. Quels fabricants locaux ont pu s’inspirer des chaises Windsor ou de la fameuse chaise « Sussex » de William Morris ? Quelles formes les chaises à dossier en échelle ou les escabelles, largement répandues en Europe, ont-elles prises en Estonie ? Quel siège pouvait naître à partir de la racine d’un pin ou d’une épaisse branche ramifiée ?<br /> <br /> À l’époque où les meubles se faisaient à la main, des fascinantes « écoles » locales se formèrent. Différentes du reste de l’Estonie, les chaises provenant des îles se distinguent par des caractéristiques régionales uniques : celles-ci sont les créations des fabricants des îles Muhu et Kihnu, ainsi que celle des Suédois de la côte à Pakri et Ruhnu.<br /> <br /> Comment un simple paysan du XIX<sup>e</sup> siècle ne possédant qu’une hache, un couteau, une plane et un burin, fabriquait-il ses chaises ? Des clips vidéo sont diffusés afin de donner un aperçu des solutions techniques de l’époque utilisées pour travailler le bois en le fendant, pliant et façonnant, et pour tresser une assise en pailles ou en joncs.<br /> <br /> Commissaires d’exposition : Mariliis Vaks, Liisi Jääts, Indrek Tirru<br /> Conceptrice : Emma Eensalu<br /> Productrice : Reet Mark<br /> Cette exposition sera ouverte dans la galerie du Musée national estonien du 24 février au 4 décembre 2023<br /> Entrée : Entrée A<br /> </p> <div style="text-align:center"><img alt="" height="401" src="/sites/default/files/bj_0826.jpg" width="600" /></div> <div class="rteleft"> </div> </div> <h3 class="rtecenter"><br /> <strong>Exposition « Univers de la cour de ferme. Créateurs d’Estonie du sud </strong><strong>»</strong></h3> <div class="rtecenter"> <div class="rteleft">L’exposition intitulée « Univers de la cour de ferme. Créateurs d’Estonie du sud » est ouverte dans la galerie de l’ERM. Cette exposition appréciée arrive à Tartu du musée KUMU. Elle reste ouverte jusqu’au 21 août 2022. Accès à la galerie par l’entrée A de l’ERM. </div> <p class="rteleft">Au cours des dernières décennies, un certain « réveil » de l’Estonie du sud a eu lieu : la forte émergence de l’identité locale se base sur des phénomènes culturels profondément enracinés, tels que le dialecte, les coutumes et le mode vie proche de la nature. Les recherches sur la culture de l’Estonie du sud, qui ont pris remarquablement de l’ampleur, se concentrent sur trois grands domaines : langue, traditions et littérature. Jusqu’à présent, en dehors des études littéraires et ethno-traditionnelles, aucune approche n’a encore analysé la spécificité sud-estonienne de l’œuvre des artistes ayant grandi dans la région et y étant étroitement liés. Pourtant, un grand nombre d’artistes originaires d’Estonie du sud sont des auteurs-clés modernistes du début de la vie artistique estonienne, dont le travail a eu un impact important sur notre vision et notre perception de ce qui est « le caractère sud-estonien ». L’exposition couvre la période allant de la fin du 19<sup>e</sup> siècle jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale, puisque c’est pendant cette période-là qu’en plus de la définition générale de la conscience nationale et politique, une identité régionale plus étroite, y compris celle de l’Estonie du sud, s’est créée.<br /> <br /> Les œuvres de près de 50 artistes sont exposées, dont Karl Pärsimägi, Konstantin Süvalo, Jaan Vahtra, Eduard Rüga, Villem Ormisson, Jaan Koort, Peet Aren, Konrad Mägi, Ants Murakin, Roman Nyman, Andrus Johani et Eduard Wiiralt. L’exposition met particulièrement en lumière Eduard Timbermann dont l’œuvre exceptionnelle est jusqu’à présent restée indûment inaperçue.</p> <div style="text-align:center"><img alt="" height="467" src="https://www.erm.ee/sites/default/files/bj_0048.jpg" width="700" /></div> </div> <h3 class="rtecenter"><strong>Exposition « La beauté des couleurs. La collection d'art d'Enn Kunila sur l'âge d'or estonien »</strong></h3> <div class="rteleft">L'exposition, intitulée « La beauté des couleurs. La collection d'art d'Enn Kunila sur l'âge d'or estonien », présente les œuvres des plus grands peintres estoniens de la première moitié du XXème siècle. La collection d'Enn Kunila est consacrée à des œuvres chromatiques représentant des paysages naturels, des portraits ainsi que des natures mortes. Ces œuvres offrent une vision positive et harmonieuse du monde. Parmi les artistes représentés figurent Konrad Mägi qui se distingue avec plusieurs dizaines d'œuvres, ainsi que Nikolai Triik, Johannes Võerahansu, Ants Laikmaa, Eerik Haamer, Endel Kõks, Paul Burman, Villem Ormisson, Richard Uutmaa et bien d'autres.<br /> <br /> La collection d'art d'Enn Kunila a commencé à se former au milieu des années 1990. Des principes clairs se sont dégagés au fils des années. La collection met en lumière l'âge d'or de la peinture estonienne, à savoir l'émergence du modernisme dans les premières décennies du XXème siècle. Les artistes qu'elle regroupe représentent les principales tendances picturales de cette époque, alors que les œuvres qui s'y trouvent offrent quant à elles une vue d'ensemble du travail de ces artistes, dont elles sont une parfaite illustration. La collection donne ainsi un bon aperçu des prémices de l'histoire de l'art pictural estonien.<br /> <br /> L'exposition présente plus de 70 peintures, dont plus d'un quart sont des œuvres de Konrad Mägi. Conçue par Tõnis Saadoja, l'exposition propose de découvrir tout une série de tableaux des plus grands peintres du début du XXème siècle. Les nouvelles œuvres qui n'ont encore jamais été montrées au public y sont bien plus nombreuses que lors de l'exposition organisée au musée d'art de Tartu en 2018. L'accent y est mis avant tout sur les paysages naturels qui laissent deviner la relation étroite et vivante que les artistes de cette époque entretenaient avec la nature. À cela s'ajoute plusieurs portraits, natures mortes et paysages urbains.<br /> <br /> Le titre de l'exposition « La beauté des couleurs » fait référence à la manière dont les couleurs sont abordées par les artistes estoniens. La couleur était le principal élément que la plupart des peintres de l'époque utilisaient pour apporter une touche émotionnelle, décorative, psychologique et dramatique à leur œuvre. Les couleurs permettaient aux artistes d'exprimer leurs sentiments intérieurs, d'élargir la composition et de rechercher des transitions harmonieuses. Dans de nombreuses œuvres, la couleur s'affranchit de la contrainte de la représentation et les surfaces colorées produisent leurs effets de manière autonome. La polyvalence de la technique du pinceau est également mise en avant.<br /> <br /> L'exposition est accompagnée d'un programme éducatif, de panneaux d'information disposés dans chaque salle et d'un catalogue complet. Il sera également possible de voir le nouveau film de Marianne Kõrver sur les premières années de la peinture estonienne dans la salle de cinéma. Des visites commentées par le commissaire d'exposition, des visites guidées et des rencontres avec le collectionneur sont prévues.<br /> Le commissariat de l'exposition est assuré par Eero Epner, la scénographie par Tõnis Saadoja et la coordination par Maris Kunila. La graphiste et conceptrice du catalogue est Angelika Schneider, la responsable du programme éducatif est Mary-Ann Talvistu.<br /> <br /> Du 19 février au 8 octobre 2022.</div> <div style="text-align:center"><img alt="" height="460" src="/sites/default/files/aa_0120_0.jpg" width="700" /></div> <h3 class="rtecenter"><br /> <strong>La beauté fonctionnelle. Sacs à main, porte-monnaie, sacs cabas et sacs-pochettes issus des collections de l'ERM</strong></h3> <p>Les collections en libre-accès de l'ERM présentent au public les objets qu'elles renferment et conservent avec précaution en les tenant habituellement à l'écart des visiteurs. Elles offrent la possibilité d'exposer des centaines, voire des milliers, d'objets de même nature ou ayant un lien thématique entre eux.<br /> <br /> Les collections en libre accès exposeront à partir du 24 février 2022 près de 1 500 accessoires historiques et sacs fonctionnels, allant des porte-monnaie et sacs à main jusqu'aux étuis de montre à gousset et autres pochettes de tradition finno-ougrienne. Parmi les objets les plus anciens de l'exposition se trouvent des sacs-pochettes et des blagues à tabac richement décorés qui se portaient avec les costumes traditionnels. Par ailleurs, l'exposition propose également de découvrir les sacs en plastique caractéristiques de l'ère soviétique et de mettre en lumière l'évolution de la mode des sacs à main dans la seconde moitié du siècle dernier.<br /> <br /> Les sacs exposés dans l'espace des collections en libre-accès du musée révèlent le remarquable sens du beau de nos ancêtres et apportent également une contribution précieuse et inspirante à tous ceux qui aiment la culture populaire, la mode et le design.<br /> <br /> Exposition visible du 24 février 2022 au 24 février 2024 au sein des collections en libre-accès de l'ERM.</p> <div style="text-align:center"><img alt="" height="368" src="/sites/default/files/1200x630px_vol2.jpg" width="700" /></div> <h3 class="rtecenter"><br /> <strong>L’exposition sur les contes, intitulée « IL ÉTAIT UNE FOIS ... », se tient dans la salle des expositions temporaires de l’ERM à partir du 8 février 2020.</strong></h3> L’exposition « Il était une fois ... » est consacrée aux contes de fée. Dans la forêt enchantée des contes se trouve un univers familier extraordinaire. Il faut s’adapter à ce lieu où règnent une temporalité et des lois différentes. <br /> <br /> Le conte de fée est en dehors du temps et de l’histoire, évoluant à son rythme. On y voit le héros se mettre en route - il peut aborder des animaux et des oiseaux doués de parole ou rencontrer des personnages inattendus qui lui viennent en aide. Il peut lui arriver de manipuler des objets magiques ou traverser à toute hâte d’étranges contrées. À d’autres moments, il se met en chemin plutôt dans le but de trouver son bonheur, s’y employant avec tellement d’énergie qu’il va jusqu’à user sept paires de chaussures.<br /> <br /> Les visiteurs de l’exposition suivent le parcours des héros des contes. Les objets magiques, les actes de charité, les personnages prêtant main-forte, les lois de la narration, les proverbes, le langage des animaux et des oiseaux, les héros, les chaudrons remplis d’argent, les mondes souterrains, les défis, les solutions. Les fins heureuses ou malheureuses. Et tout ce qui se présente entre les lignes du conte ... <div style="text-align:center"><img alt="" height="190" src="/sites/default/files/muinasjutunaitus_tekstita_0.png" width="700" /></div> <br /> Qu’y a-t-il de passionnant dans l’exposition? Pour les adultes, il y a le plaisir d’identifier les contes, le fait de connaître les modifications apportées aux contes en ce qui concerne les éléments de temps et de lieu et l’apport d’idées pour raconter des histoires du soir. L’exposition propose aux jeunes visiteurs de rencontrer les personnages présents dans les contes, ainsi que de découvrir des mondes fantastiques et, bien évidemment, un grand nombre de nouveaux contes fascinants. L’exposition s’accompagne de visites guidées.<br /> <br /> Initiatrice et commissaire de l’exposition : Katrin Sipelgas<br /> Concepteurs : Katrin Sipelgas, Janeli Jallai, Jaak Kilmi, Risto Järv<br /> <div style="text-align:center"><img alt="" height="467" src="/sites/default/files/ak_0149.jpg" width="700" /></div> </div> <div class="rtecenter"><span style="font-size:18px;"><strong>Expositions passées</strong></span></div> <div class="rtejustify"><strong>DIY (Do it Yourself) Estonia. Reconstruire l’Estonie grâce à l’esprit d’initiative et l’ingéniosité </strong></div> <div class="rtejustify"><em>4 octobre 2018 - 20 octobre 2019</em></div> <div class="rtejustify"><br /> On se souvient aujourd’hui des années 1990 comme d’une période de grands changements. La décennie fut riche d’évènements politiques en Europe de l’Ouest. La démocratie fit un retour relativement serein en Estonie, mais non loin de là, des conflits sanglants faisaient rage.<br /> <br /> L’exposition explore les années 1990 en Estonie du point de vue de la vie quotidienne. La vie semblait nouvelle et excitante mais elle n’était cependant pas facile. Il fallut s’adapter aux changements, faire face aux rebondissements de la vie, évoluer dans ses convictions personnelles. Ce fut l’essor de la société civile, des possibilités sans précédent pour les consommateurs, les frontières de nouveau ouvertes, la liberté de pouvoir parler du passé et de se rappeler collectivement ce qui avait vraiment eu lieu… tout cela a contribué à façonner l’Estonie d’aujourd’hui.<br /> <br /> D’un point de vue sociologique, les changements des années 1990 se sont déroulés sur trois plans: économique, politique et culturel. Chacun de ces plans se déroulant à une vitesse différente, l’enchaînement fut inhabituel. Premièrement les structures de l’état furent rebâties, balayant les réformes économiques qui avaient été menées jusque là. Ensuite seulement les gens essayèrent de vivre leur vie selon le nouveau système. Bien que les années de réformes les plus compliquées furent brèves, nous sommes culturellement toujours en train de nous habituer à la nouvelle ère.<br /> <br /> “DIY Estonia” est aussi une exposition sur l’expérience des différentes générations. Des générations sur le même temps chronologique peuvent en fait vivre des moments subjectivement différents. Les gens ont expérimenté les années 1990 à différents moments de leur vie et certaines expériences sont partagées seulement avec ceux de la même génération. L’Estonie a assisté à un rapide glissement d’un gouvernement d’anciens à une société orientée vers la jeunesse. Pour les jeunes, il a été facile de se glisser dans cet environnement tout neuf car les opportunités, pour ceux qui voulaient rentrer dans le monde du travail, étaient quasiment illimitées. Beaucoup ont rapidement progressé dans les rangs de la fonction publique et une nouvelle élite d’hommes et de femmes d’affaire s’est formée. Mais certains jeunes n’en ont pas profité, tandis que, d’un autre coté, un tout-jeune retraité a rappelé, dans un récit envoyé aux archives du Musée national estonien, que les débuts des années 1990 ont été le commencement des plus belles années de leurs vies.<br /> <br /> “DIY Estonia” a été réalisée dans le cadre d’un projet de recherche commun et d’une coopération entre plusieurs musées, au cours desquels de la documentation sur les années 1990 a été rassemblée. Les collections des musées sont encore loin d’être exhaustives au regard de cette période, le travail se poursuivra donc. Le projet est dédié au centenaire de la République d’Estonie.</div> <div class="rtejustify"> </div> <div class="rtejustify" style="margin: 0px; padding: 0px; outline: invert; border: 0px; border-image: none; text-align: justify; color: rgb(0, 0, 0); text-transform: none; line-height: inherit; text-indent: 0px; letter-spacing: normal; font-family: inherit; font-size: 100%; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; text-decoration: none; word-spacing: 0px; vertical-align: baseline; white-space: normal; box-sizing: border-box; orphans: 2; font-size-adjust: none; font-stretch: inherit; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><strong>Histoire de chaises</strong></div> <div class="rtejustify" style="border-bottom-color: currentColor; border-bottom-style: none; border-bottom-width: 0px; border-image-outset: 0; border-image-repeat: stretch; border-image-slice: 100%; border-image-source: none; border-image-width: 1; border-left-color: currentColor; border-left-style: none; border-left-width: 0px; border-right-color: currentColor; border-right-style: none; border-right-width: 0px; border-top-color: currentColor; border-top-style: none; border-top-width: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: inherit; font-size: 100%; font-size-adjust: none; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: 300; letter-spacing: normal; line-height: inherit; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; outline-color: invert; outline-style: none; outline-width: medium; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; vertical-align: baseline; -webkit-text-stroke-width: 0px; white-space: normal; word-spacing: 0px;"><em><span style="display: inline !important; float: none; background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(0, 0, 0); font-family: inherit; font-size: 100%; font-size-adjust: none; font-stretch: inherit; font-style: italic; font-variant: inherit; font-weight: inherit; letter-spacing: normal; line-height: inherit; orphans: 2; text-align: justify; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; -webkit-text-stroke-width: 0px; white-space: normal; word-spacing: 0px;">Ouverture dans la galerie (entrée B) du 31 janvier 2018 au 30 juin 2019.</span></em><br /> <br /> L'accent est mis sur l'un des éléments intérieurs les plus courants et les plus importants, dont aucun espace ne saurait se passer.<br /> <br /> Au cours du siècle, des architectes et des designers estoniens ont conçu et fabriqué des chaises qui sont restées quasiment invisibles pour le public, mais sans lesquelles nous ne pourrions pas imaginer l’histoire de notre design.<br /> <br /> L’exposition présente l’histoire du mobilier estonien à travers les chaises, devenues iconiques, que l’on retrouve dans les bâtiments publics, ainsi que dans les foyers de beaucoup d’Estoniens. Ce sont les chaises qui ont marqué l’histoire du design du mobilier estonien en tant qu’objets uniques, mais aussi celle de la production industrielle. On y expose également des chaises dont l’unicité est un signe du temps car les limites des possibilités déterminaient leur tirage. Cette exposition est aussi un récit de l’interruption du modernisme puisqu’elle présente l’époque où la pensée indépendante était contrainte et le design du mobilier extrêmement réglementé.<br /> <br /> Commissaires d’exposition : Harry Liivrand, Lilian Sokolova, Katrin Tammsaar<br /> Productrice : Reet Mark</div> <p> </p> <div class="rtejustify"><strong>Dédicace. Illustrations d’Evi Tihemets</strong></div> <div class="rtejustify"><em>Ouverture dans la galerie (entrée B) du 22 novembre au 6 janvier 2019</em><br /> Evi Tehemets (née en 1932) a été décrite comme une artiste graphique avec l’âme d’un peintre. Au début des années 1960 elle rapporta les couleurs dans l’art graphique estonien, et depuis 60 ans elle poursuit son utilisation de couleurs. Elle a toujours suivi le rythme des différentes époques, et peut être même été en avance sur elles, dans ses découvertes artistiques. Dans le passé elle a utilisé à la fois la lithographie et les techniques de taille-douce, les associant savamment avec photos et impressions digitales tout en utilisant différentes sortes de papiers. Dernièrement, elle s’est livrée avec amusement au collage.<br /> <br /> L’exposition de son travail est dédié à son mari, Ants Viires (23.12.1918-18.03.2015), qui aurait alors 100 ans et qui est un des ethnologues estoniens les plus renommés. Il apporta à son travail des influences venues directement de la mythologie estonienne et d’autres peuples finno-ougriens. Les pièces présentées ont été choisies car elles gardent à l’esprit ces échanges. En plus de ces anciennes pièces graphiques, 14 grands collages sont exposés et comme précédemment c’est un dialogue entre deux personnes dévouées l’une à l’autre, à leurs talents et leurs recherches. Evi Tihemets a mis ensemble les détails les plus passionnants de ses œuvres graphiques antérieures, des impressions du livre de Teppo Korhonen, „Kuisti. Kansatieteellinen tutkimus,” ses souvenirs et impressions de la nature ainsi qu’ une sélection de poème écrit par Ants Viires.<br /> <br /> C’est une rétrospective de leurs souvenirs de ces merveilleuses années passées ensemble.<br /> Créateur de l’exposition: Evi Tihemets<br /> Graphiste: Emma Eensalu<br /> Équipe de l’exposition: Reet Mark, Karin Kastehein, Penelope Piip, Silli Peedosk, Eve Keedus, Arvi Tragel, Tiit Sild, Lauri Tamm, Erkki Pärt, Pihel Prants<br /> <br /> L’artiste est très reconnaissante envers l’entreprise Overall.<br /> L’exposition a reçu le soutien de la Donation culturelle estonienne.</div>
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